[NOUVELLE] Une autre vie.

Faites-nous partager vos récits héroïques.
_Fathom_
Drone
Drone
Messages : 20
Enregistré le : dim. juin 01, 2008 1:37 pm

[NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar _Fathom_ » mar. oct. 14, 2008 6:14 pm

Ceci est le premier jet d'une nouvelle que je suis en train d'écrire. Lisez-la si ça vous branche, dîtes si elle vous plait, et faîtes-moi signe si vous attendez un ULTIME chapitre. :D
(N'hésitez pas à critiquer, pour savoir ce que je dois changer, etc...)
UNE AUTRE VIE.

Introduction.

Qu'est ce que le bonheur ? Si c'est ce que vous appelez tous des "passions et des envies satisfaites" alors sachez que toutes les passions ne sont pas forcément bonnes. Ne nous privons pas d'avoir des passions, certes, mais cessons d'espérer des choses infinies et immuables que seule la religion peut nous offrir. De même pour l'amour, toute passion n'est que superficielle. Ce sentiment fait plus de malheureux que de gens heureux. Les malheureux sont connus puisque finalement ils doivent être aidés. Tandis que les heureux gardent le plaisir pour eux et vivent incognito à l'ombre de la société.

Chapitre I - Le départ.


Le printemps approchait à grand pas à l'époque. J'étais jeune, riche, et pas forcément beau. Ceci dit, la richesse nous permet de posséder toutes les qualités que l'on souhaite, n'est-ce pas ? Quoiqu'il en soit, les vingt-deux premières années de ma vie n'étaient pas très joyeuses malgré ce que l'on pourrait croire. Lorsque mes études (que mon père s'est chargé de choisir pour moi) ont touché à leur terme, j'ai décidé de casser ma cagnotte, où plutôt celle de mon père, et de chercher le bonheur, bien que je n'en connaisse pas sa véritable définition, aux quatre coins du monde.

"Jeune et con", n'ont cessé de dire mes parents. J'ai quitté le domicile en pleine nuit, en leur laissant de quoi vivre aisément quelques années. Et croyez-moi, un chirurgien peut toujours se suffire financièrement. Ça y est, j'étais parti à la destination du bonheur, où plutôt de Los Angeles, ville que vous devez connaître tout aussi bien que moi. Mon arrivée eut lieu vers 17 heures, heure locale. J'étais totalement excité rien qu'en voyant ce soleil, ce ciel bleu, ces palaces, ces belles voitures, les gens riches, leur air hautain, la démesure inhumaine de la nature, la pauvreté cachée, le néant absolu des espèces de bidonvilles que l'on peut voir seulement à la télé. Je ne suis resté que huit jours. Je n'avais rencontré personne, et n'avais aucune attache pour ce pays que l'on qualifie toujours de "cool". Non, je ne suis pas devenu anti-américains, détrompez-vous. Après cette pseudo-fugue totalement ratée, il faut bien l'admettre, j'ai décidé de faire mieux. Je ne suis pas reparti en direction de la France, mon pays natal. J'ai opté pour un vol à destination de Beijing, autrement dit Pékin. Le trajet ne fut pas long, et c'était tant mieux. J'avais extrêmement hâte de voir les buildings chinois, et d'adopter un mode de vie totalement différent de celui que je connais. Mon premier mois se passa bien, je l'admets. Cependant les faits auxquels j'ai assisté par la suite m'ont totalement fait changer d'avis vis à vis de ce pays que je découvrais avec un grand intérêt. Mon père disait que le communisme russe était comme le communisme chinois. Un communisme pourri n'étant absolument pas fondé sur de vraies valeurs sociales. Jusque là je le laissais parler sans me faire d'opinion. De toute façon, ceux qui se fondent une opinion sur celles des autres sont idiots. Moi ce que je pense, je le pense par le biais de mon vécu, et de l'histoire en elle-même. Enfin bref, j'allais oublier de vous raconter les choses déroutantes que j'ai vu. Cela s'est passé en pleine nuit. J'ai entendu des cris, de plusieurs personnes. A entendre, je croyais qu'ils n'étaient pas plus de cinq. Par simple curiosité, je me précipite vers la fenêtre, encore à moitié endormi. Ils étaient des dizaines, des dizaines de malheureux que le gouvernement chinois venait emmener pour finir leur vie en prison, pour avoir tenu des propos dérangeants au sujet du communisme. La poignée de personnes qui n'étaient pas mises en cause étaient en pleurs, et demandaient aux soldats de ne pas faire cela. Au bout d'un quart d'heure, les trois camionnettes pleines de "délinquants" étaient partis, redonnant au silence toute sa beauté. Le lendemain, pour me certifier de ne pas avoir rêvé, j'ai décidé d'aller voir au pied de l'immeuble d'en face s'il existait encore des signes de vie. Une petite famille de trois personnes vivait encore au deuxième étage, tous les autres avaient été bel et bien embarqué par la police chinoise. "Ils les ont balancé", me suis-je dit. Je n'ai pas cherché à savoir si c'était vrai, j'ai fait mes valises et je suis retourné en France.

Lors des retrouvailles après un mois de séparation, mes parents n'ont pas eu une réaction à laquelle je m'attendais. Ils se sont montrés froids et distants. Ils n'avaient aucune idée de là où j'étais, mais ils n'en étaient pas préoccupés. "Où est l'argent ?" dit d'abord mon père. Puis, après un long silence, ce fut ma mère qui hurla "Réponds !". Je n'ai pas fait d'histoires, je leur ai rendu l'argent qu'il me restait, c'est à dire les trois quarts que j'avais pris. Pourtant, cela ne leur a pas suffit, j'ai été mis à la porte. A vingt-deux ans, sans argent, et sans parents. On reconnaît le bonheur uniquement lorsqu'on le perd, dit-on. Je confirme, les soirées arrosées, les sommes d'argent folles, les galas, les célébrités que je connaissais... C'était fini, et c'est seulement après cette dure leçon de la vie que j'ai réalisé que je n'aurai jamais du partir chercher le bonheur, car je l'avais déjà. Après un mois de pure folie dans la capitale chinoise, tout s'écroule. Cette fois, j'étais vraiment parti.

Chapitre II - Vers un nouveau monde.

Vous devez vous dire que ma vie devait être intéressante auparavant. Après avoir été chassé de chez moi, j'ai réalisé que si le bonheur s'arrête à ce que je pouvais faire auparavant, alors il est réservé aux plus riches. Or, j'ai vu tout le long de ma vie des hommes pauvres et heureux à la fois. Le bonheur ne dépend donc pas de l'argent. Du moins, pas totalement. Le peu d'études de médecine que j'ai fait avant de tout foutre en l'air m'ont servi à avoir une place de secrétaire médical. C'est pas la même chose que chirurgien, je vous le concède, et encore moins le même salaire. Chaque jour je prends des claques, au bout du compte. Et le mot "compte" est bien choisi. Je passe des journées entières avec seulement mon petit-déjeuner léger que j'ai ingurgité à toute vitesse le matin. Dur ? Peut-être, mais ça l'est encore plus pour d'autres. C'est ce que je me dis, pour me donner un semblant de courage. J'ai émis ensuite l'hypothèse que c'était peut-être l'amour qu'il me manquait. J'ai décidé à ce moment de reprendre les choses en main. J'ai acheté des vêtements pour me mettre en valeur, et j'ai lu quelques œuvres littéraires intéressantes dans le but d'avoir une culture en matière d'amour. Puis j'ai décidé de tester mon potentiel de séduction quelques jours plus tard, en abordant une jeune femme blonde, au sourire tellement craquant que je me suis fait prendre à mon propre piège. Je n'ai pas pu m'empêcher de donner mon numéro de téléphone à celle qui ne devait être rien de plus que la cible d'un test. Au bout de quelques cafés bus ensemble, j'ai appris qu'elle était à la même université que celle où j'ai été pendant quatre ans. "On aurait pu se voir plus tôt, alors ?" disait-elle. Oh, avec tout ça, j'ai oublié de vous donner son prénom. Elle se nomme Chloé. C'est maintenant que j'admets que j'étais complètement fou d'elle. A l'époque, j'étais persuadé que les gens ne s'aiment uniquement par intérêt, cela se faisant par le biais de leurs subconscients. Je n'ai jamais osé la faire venir chez moi. Trop petit, trop moche, trop sale. Et puis un jour elle m'a posé une sorte d'ultimatum. Si je ne la faisais pas définitivement entrer dans ma vie, elle entrait dans celle d'un autre homme. J'ai paniqué et dit n'importe quoi. J'avais perdu le résultat d'une relation de huit mois, relation qui me faisait oublier la misère à laquelle j'appartenais. J'ai enfin réalisé que l'amour, c'est comme une drogue. On aime ça, on en redemande. Lorsque les effets s'estompent, on tombe d'encore plus haut, et on sent un manque. L'amour est un drogue. Ou alors un semblant de drogue, mais en tout cas, il est psychologiquement douloureux de s'en séparer.

"Qu'ai-je fait pour mériter cela ?" me disais-je. Et par malheur, ma question fut si lourde à ressasser que je l'ai criée dans la rue. C'est alors qu'une femme âgée m'a arrêté, et m'a dit : "Tout est écrit là-haut, cesses de te battre contre la fatalité." Ce qu'elle ignorait, c'est que j'ai horreur de me dire que je ne suis finalement qu'un pantin du destin, et que je ne contrôle pas le contenu de ma vie. L'idée même qu'un Dieu puisse exister, cela me répugne. Alors non, je ne crois en rien, et je me dis parfois que c'est ce que l'on veut me faire payer, avec toutes ces mésaventures. Puis j'ai décidé de mettre le destin à rude épreuve. Si il a choisi la manière, le lieu, et la date de ma mort, je vais lui prouver une bonne fois pour toutes que je suis plus fort que lui. Honnêtement, ma rupture douloureuse combinée à ma misère ne m'a donné qu'une seule envie : sauter de la fenêtre du huitième étage de l'immeuble que j'habite. Puis, il a fallu passer de la théorie à la pratique. C'était finalement plus fort que moi, j'en avais marre. Marre de la vie, et hâte à la mort, au repos. Je suis finalement monté sur le toit de mon immeuble, et j'ai fait simple. J'ai crié : "Fatalité, c'est aujourd'hui que je t'affirme que j'ai gagné l'effroyable combat qui nous oppose depuis presque vingt trois ans !" Je n'ai pas cherché à interpréter la moindre chose comme une réponse de mon adversaire. J'ai couru. J'ai sauté.

Chapitre III - Un néant qui ne se mesure pas.


Six mois après les évènements tragiques dont je fus le principal acteur, je sortis d'un lourd et profond coma. J'avais perdu. Une fois encore, la fatalité m'a rattrapé et m'a devancé. Cependant, et pour ma plus grande satisfaction, j'eus le droit à la présence de mes parents à mon chevet. Ils étaient là, bel et bien là. Moi qui m'attendait à ne plus jamais les revoir, ce fut un si fort moment pour moi que j'ai pleuré. Quelques jours plus tard, je pus quitter l'hôpital et retourner profiter des joies que me procurent l'argent, sans chercher à savoir si la fatalité y était pour quelque chose. Les jours passèrent, et mon état de santé s'améliorait nettement. Je repris le contrôle total de tous mes membres, qui étaient pourtant tous atrophiés à mon réveil. J'étais enfin sur pied, et prêt à prendre une revanche contre toutes mes mésaventures. Tout d'abord j'ai acheté mon appartement, ma voiture, mes meubles, etc... Je me suis fait même le luxe d'installer un jacuzzi dans ma salle de bain. Je vivais dans un appartement de 300m², je vivais finalement bien. Puis j'eus le droit à subir un manque. Le manque de cette drogue, que nous appelons "l'amour". J'avais enfin compris que j'en avais besoin, pour être un minimum heureux. Chloé ne savait pas ce qu'il m'était arrivé. Et pour tout vous dire, je ne sais pas non plus ce qu'elle est devenue. Sans vraiment réfléchir, j'ai décidé d'un coup de tête de téléphoner chez elle. Je n'aurai jamais dû faire cela. Une voix d'homme m'a répondu, et il m'a fallu seulement quelques secondes pour entendre clairement Chloé demander à son "lapin d'amour" qui était au bout du fil. J'ai raccroché violemment, et, emporté par ma rage frénétique, j'ai juré de ne plus jamais tomber amoureux.

Les hivers et les étés passèrent, tantôt froids pour certains, tantôt chauds pour d'autres. Mis à part quelques relations sans lendemain, je n'ai jamais retrouvé cette joie que je ressentais en vivant avec Chloé. Je ne pourrai certainement jamais l'expliquer, et vous non plus d'ailleurs.

Un jour de printemps, je reçus un homme vêtu de manière très étrange, qui ne se gêna pas d'entrer chez moi pour m'annoncer une nouvelle bien sordide. Ma mère était décédée la veille dans un accident de voiture, alors que mon père, qui était au volant, était mourant à l'hôpital. Il ne me fallu que cinq minutes pour faire les vingt kilomètres de trajet nécessaires pour atteindre le lit de mort de mon père. Il allait mourir, et c'était certain. On lui diagnostiquait quelques heures, peut-être quelques jours pour vivre. A l'entente des mots durs du docteurs ayant pris en charge mon père, j'ai senti tout un néant prendre possession de mon corps, avant de laisser la place aux larmes. Les derniers instants de vie de mon père furent finalement courts, à mon grand regret.

Alors que j'étais en train de ranger la maison familiale, que je comptais mettre en vente, on frappa à la porte. Il s'agissait de l'huissier, qui m'affirma que mon père avait supprimé le testament qui faisait revenir tout son argent à ma personne lorsque j'étais parti vivre le temps de quelques semaines à l'étranger, en ayant vidé ses comptes bancaires. "La fortune de monsieur, s'élevant à 843 369 euros, revient à son frère, selon le testament qu'il a écrit peu de temps avant sa mort." Je n'y ai pas cru une seconde, il a fallu que je lise ce misérable bout de papier avant de rendre compte que je l'étais encore plus que lui. C'était fini. La vie de château était finie, et cette fois je n'allais jamais avoir le droit de m'en approcher une nouvelle fois. Je me suis remis à croire que tout ce qui m'arrivait devait arriver. J'étais relancé dans mon idée folle de fatalité, d'histoire déjà écrite, de destinée, etc... Je mourais à petit feu, je n'étais plus rien. Il suffit que les âmes de deux êtres chères disparaissent pour que tout votre bonheur disparaisse. Mais je crains que ce soit leur argent, qui me causait tant de plaisir, et non leur présence. Cette fois je voulais en finir, mais en opposition je savais que si je ratais à nouveau cette tentative, la vie serait encore plus dure pour moi. Cette fois j'étais coincé, dominé par le destin, et emprisonné à la surface de cette planète jusqu'à nouvel ordre. Je devais me battre, me battre contre ces injustices de la vie. J'ai peut-être été parfois arrogant, méchant, cupide, égoïste... Mais au fond, qui ne l'aurait pas été à ma place ? J'ai autant le droit que n'importe qui d'être heureux, et je le clame haut et fort. Je vais m'accrocher, et ne surtout pas perdre la face. Malgré la quantité innombrable de mes amis, ce qu'ils me disaient pour me réconforter ne m'affectait pas. C'est vrai puisque lorsque je leur ai parlé la première fois de mes problèmes avec mes parents, ils ont été de si mauvais conseil que j'ai failli finir par me suicider. Une fois, pas deux. Je vivrai sans parents, sans amour, et sans amis. Le bonheur me fuit, et je le fuis. Avec une telle situation je ne suis pas prêt d'être heureux avant un nouveau coup du sort. Je crois que le terme est bien choisi, un coup du sort. Lorsque mon ancien patron eut entendu de ce qu'il m'était arrivé depuis ma tentative de suicide, il m'a proposé de suivre gratuitement des cours de médecine, dans le but de devenir chirurgien d'ici quelques années. Je n'ai pas refusé. Je n'ai pas refusé, même si je hais ce métier. Je n'ai pas refusé, étant à nouveau victime de ma cupidité. Moi qui relativisait au sujet de la richesse à un moment, je disais même que l'argent n'était pas source directe de bonheur... Mais non, cette fois je pensais que seul l'argent pouvait me rendre heureux. A partir de ce jour, j'ai vécu pendant trois ans dans un studio, jusqu'à obtenir le droit de me déclarer comme chirurgien. Et là, l'argent afflua en masse. J'étais de nouveau aisé, et prêt à renouer des liens avec des gens. Il m'aura fallu trois ans pour passer d'un extrême à un autre, comme quoi tout peut arriver dans la vie.

Chapitre IV - Un homme cupide, une femme encore pire et un avenir compromis.

Boîtes de nuit, voyages, clubs de rencontre... Je pouvais de nouveau accéder à cela. Je ne trouvais toujours pas l'amour, contrairement à ce que j'espérais en sortant autant. La rencontre qui changea tout dans ma vie, ce fut celle avec Maria, une fille d'origine espagnole, ayant un an de moins que moi, mais ayant avant tout un charme fou. J'ai toujours cédé face au physique d'une fille. Si elle s'avère être intelligente, je suis dans un autre monde. Et là, je ne sais même plus où j'étais, pour ne rien vous cacher. Les choses allèrent vite, trop vite. Un mariage au bout de deux ans de vie commune, j'étais donc âgé de vingt-six ans. "Trop jeune", disaient mes amis. Et ils avaient tort, en tout cas à moitié. Six mois après notre mariage, Maria me quitta, emportant mon bonheur, et mon argent. Ma cupidité était dépassée par celle que j'appelais tous les jours "mon amour". C'était impossible, selon moi. Et pourtant, toute notre aventure n'était que du pipeau, dans le seul et unique but qu'elle amasse de l'argent, mon argent.

Un nouveau dur retour à la réalité. La fatalité ne se lasse t-elle jamais de s'acharner contre moi ? Et pourquoi moi ? Mon âme laissa la paranoïa l'envahir, et je me mis à devenir pessimiste de la moindre péripétie dont j'étais le principal acteur. Je ne devenais pas fou, contrairement à ce que pensaient mes amis. C'est d'ailleurs à ce moment-là qu'ils m'ont abandonné. J'étais seul, et sans argent. Cette fois, je n'avais aucune idée du moyen par lequel j'allais pouvoir remonter la pente.

Hélas, je ne l'ai jamais remontée. J'étais persuadé que la destinée allait encore une fois me sauver, m'empêcher de devenir une âme perdue. Malheureusement non. Je me suis mis à voler, pour survivre. J'ai déménagé dans un quartier peu fréquentable, dans l'espoir de ne pas être trop taxé financièrement pour le loyer. Je ne travaille plus, je ne sors plus. Je ne mange presque pas, et pourtant je suis endetté, allez comprendre. A l'heure où je vous écris ces lignes, cela fait déjà un an et demi que je suis dans cette situation. J'écris ceci pour faire changer les choses. Et ce que je compte faire, c'est pour que ce que j'ai écrit soit encore plus remarquable. Je veux que ce texte soit lu, et que vous compreniez bien que le bonheur n'existe finalement pas, que c'est une idée reçue, que l'on a inventé lorsque nous étions tous croyants et que nous attendions tous la même chose de Dieu. Cessons d'être naïfs. Je suis impatient de savoir les répercussions de mon écrit, mais aussi de mon geste. Adieu.
Modifié en dernier par _Fathom_ le mar. oct. 14, 2008 8:32 pm, modifié 3 fois.
Image

Olah
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 1797
Enregistré le : jeu. juil. 27, 2006 9:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Olah » mar. oct. 14, 2008 7:33 pm

J'ai pas lu mais enlève moi ce blanc tout de suite, on voit que dale sous le thème de phpBB et ça explose les yeux *__O
Image

Xp3
Elite
Elite
Messages : 187
Enregistré le : sam. juin 07, 2008 5:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Xp3 » mar. oct. 14, 2008 7:45 pm

ui enleve le blanc,deja que je suis myope alor si en plus t'ecri en blanc rien de va plu :lol:
Image
Image
venez voir mon tout nouveau video blog : http://cratose.wideo.fr/ video 100% xp3ienne

ZKane
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 971
Enregistré le : dim. juin 25, 2006 6:02 am

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar ZKane » mar. oct. 14, 2008 7:56 pm

j'crois que le blanc c'est déjà mieux que ton écriture à toi >.< relis toi avant de poster prochaine fois :wink:
Image
Je suis un vrai petit Poney <3 <3 <3

_Fathom_
Drone
Drone
Messages : 20
Enregistré le : dim. juin 01, 2008 1:37 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar _Fathom_ » mar. oct. 14, 2008 8:33 pm

:O Kane, t'es méchant. ^^

J'ai bien dit que ce n'était qu'un PREMIER JET.

La version dite "finale" est pour bientôt.

J'voulais un peu savoir ce que vous pensiez de l'histoire, du personnage, de ce qu'il lui arrive quoi.

Mais au fond je sais parfaitement que ce texte il ne vaut rien sinon. ;)
Image

Olah
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 1797
Enregistré le : jeu. juil. 27, 2006 9:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Olah » mar. oct. 14, 2008 8:38 pm

Il parlait à xp3 en fait :lol:
Image

Xp3
Elite
Elite
Messages : 187
Enregistré le : sam. juin 07, 2008 5:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Xp3 » mar. oct. 14, 2008 8:41 pm

kane parlait a moi pour l'ecriture jcroi :lol: mais c'est vrai que moi je poste comme un demeurer,je relis jamais,et pui toi fathom t'a rien a te reprocher pour l'ecriture :lol:
Image
Image
venez voir mon tout nouveau video blog : http://cratose.wideo.fr/ video 100% xp3ienne

ZKane
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 971
Enregistré le : dim. juin 25, 2006 6:02 am

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar ZKane » mar. oct. 14, 2008 8:41 pm

clair, comme si j'avais lu s'truc xD
Image
Je suis un vrai petit Poney <3 <3 <3

Xp3
Elite
Elite
Messages : 187
Enregistré le : sam. juin 07, 2008 5:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Xp3 » mar. oct. 14, 2008 8:43 pm

cette foi t'es mechant :lol:
Image
Image
venez voir mon tout nouveau video blog : http://cratose.wideo.fr/ video 100% xp3ienne

_Fathom_
Drone
Drone
Messages : 20
Enregistré le : dim. juin 01, 2008 1:37 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar _Fathom_ » mar. oct. 14, 2008 9:03 pm

Bon bah j'maintiens. Kane, t'es méchant. ^^
Et je maintiens toujours que c'est pas une version définitive, et il y a beaucoup, BEAUCOUP à revoir. :)
Image

ZKane
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 971
Enregistré le : dim. juin 25, 2006 6:02 am

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar ZKane » mar. oct. 14, 2008 9:16 pm

nan, mais c'est pas dans ce sens là, c'est plutôt que j'ai pas encore eu le temps, mais c'est sur que je vais le lire :wink: je lis tout les rp qui sont postés ici même si je poste pas de commentaire pour chacun :wink:
Image
Je suis un vrai petit Poney <3 <3 <3

Avatar du membre
Astelan
Elite
Elite
Messages : 191
Enregistré le : dim. sept. 21, 2008 11:54 pm
Localisation : Harvest

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Astelan » mer. oct. 15, 2008 4:23 pm

Ah le scénario sort de l ordinaire :wink:
Maintenant on commencait a avoir l habitude d avoir des histoires futuristes ou violentes lol :lol:
Mais stp ne te mets pas à tuer tous tes personnages :lol: Je me comprends lol
Image
Image

Olah
Fossoyeur
Fossoyeur
Messages : 1797
Enregistré le : jeu. juil. 27, 2006 9:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Olah » mer. oct. 15, 2008 4:45 pm

Je vais commencer par le début : à savoir le conseil du jour :lol: Ou plutôt la remarque ; déjà, tu écris pour toi, pas pour les autres. Ça veut pas dire qu'il faut s'en foutre des critiques d'autrui, mais si tu attends qu'on te fasse signe pour écrire une suite, c'est pas la peine. C'est pour toi qu'il faut le faire, pas pour faire plaisir au foremeur lambda ici.

Ensuite reste positif, pas la peine de dire que ton texte vaut rien, si tu adoptes pas une attitude positive ton texte finira par s'en ressentir :mrgreen: Faut toujours partir du principe que ton texte est bon mais perfectible, forcément.

Bon ça c'est en-dehors de la novela. Eh bah j'ai été agréablement surprit, ça se lit bien, c'est bien rédigé et l'orthographe est soignée (une qualité rare de nos jours donc soulignable). On sent le mec qui vient de commencer la philo par contre :lol: Quelques invraisemblances dans la narration mais bon c'est pas bien méchant ; genre survivre au saut du haut d'un immeuble moi je dis wow xD Ou alors c'était bas, m'enfin il suffit pas de très haut pour mourir. Ou des études de médecine gratuites offertes au perso, ça semble un peu improbable également.

A part ça, la "pensée" est juste (on tombe pas dans des trucs à deux roubles, c'est le point positif) et le récit s'articule bien autour de grands axes. On a une peinture sans artifice d'une vie random et c'est très bien =) La mise en abîme est appréciable aussi avec le dernier paragraphe à la fin. Sinon aère un peu plus le texte en découpant plus de paragraphes, au moins sur le forum ; le gros bloc de texte c'est pas génial sur forum.

Enfin chapeau, sûrement l'une des meilleures nouvelles du fofo (here comes a new challenger xd).
Image

Xp3
Elite
Elite
Messages : 187
Enregistré le : sam. juin 07, 2008 5:56 pm

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Xp3 » mer. oct. 15, 2008 5:19 pm

olah invente une nouvelle mort pour rivaliser

sinon j'ai pas tout lu mais c'est tres bien et en plus c'est pas du tout mon style^^
moi mon style c'est"wa sa va fight a l'ataque!!! clic clic bang bang tout lmonde et mort!"

a par sa bonne continuation
Image
Image
venez voir mon tout nouveau video blog : http://cratose.wideo.fr/ video 100% xp3ienne

Avatar du membre
Astelan
Elite
Elite
Messages : 191
Enregistré le : dim. sept. 21, 2008 11:54 pm
Localisation : Harvest

Re: [NOUVELLE] Une autre vie.

Messagepar Astelan » mer. oct. 15, 2008 5:50 pm

Mais justement c'est ca qui est bien :wink:
Les trucs clik clik bang bang comme tu dis, on les a vus trop souvent^^
Moi je dis renouveau!!^^
Image
Image


Retourner vers « Bibliothèque »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 7 invités