Rp-Mr.chief

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Mr.chief
Oeuf Parasite
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Rp-Mr.chief

Messagepar Mr.chief » ven. mai 19, 2006 6:50 pm

bon alors , on m'as dit de creer un topic alors je le crée ^^

voila ce que vous avez deja pu lire , la suite arrivera (peut etre) bientot .


hep mais a moi alors...bon ça concerne Oblivion.

PROLOGUE

- mmmh, que puis-je pour vous ?
- j’ai, j’ai pris une décision…je veux le voir et le toucher.
- Je me doit de vous rappeler qu’il n’y a aucune possibilité de marche arrière une fois cela fait, d’ailleurs vous ne vous souviendrez même plus qu vous l’avez fait. C’est un allez simple. tout sera à recommencer, vous vous souviendrez d’une seul chose : votre vie n’aura comme but que de devenir Lord knight. Il peut vous rendre plus fort mais pas à n’importe quel prix.
Vous n’etes plus tout jeune mais vous pourriez vivre encore une bonne trentaine d’années…

- je crois que ma décision est depuis longtemps déjà prise.
- Bon, allez-y et bonne chance.

Introduction

En général les Knight n’avait pas de problème car pendant toute leurs vies il avait servit une bonne cause, celle de leur ville.
Mais si jamais une personne ayant commit des crimes ou des violence répétitive bref si jamais une personne qui avait passé sa vie à servir une mauvaise cause tentait de le toucher il mourait sur le champ.

Andrew avait passé sa vie dans une modeste demeure au nord est de Pontera. Il devenait vieux bientôt il ne pourrait plus assuré le métier qu’il pratique. C’est pour ça qu’il a décidé de recommencer, recommencer tout.
Mais pour ce faire il devait entreprendre une longue quête car personne ne savait vraiment ou il était et la plus part du temps, ceux qui le trouvait, soit n’en revenait pas, soit ne s’en rappelai plus dans leurs nouvelles vies.
Mais quand on veut le voir, quand on le veut vraiment, c’est l’instinct qui nous guide jusqu'à lui.
La personne qui veille sur lui vis le bas, près de lui et cette personne est bien entendue tenue au secret. Il ne peut évidemment pas divulguer son emplacement à qui que ce soit.

Mais Andrew l’avait trouvé, non sans peine. Tout allait recommencer maintenant. Une nouvelle vie…

















1

Il se dirigea vers lui, il marchait sur un pont en brique d’une vingtaine de mètres, celui-ci devenait de plus en plus étroit. Ce pont semblait défié les lois de la gravité, son seul point de rattachement était sa base encastrée dans un mur. Le pont se situait dans une salle immensément haute, les murs semblaient n’être construit qu’avec des étagères emplies de livres.
Sous les pieds d’Andrew ce trouvait des mètres et des mètres de vide. 100 ,1000 difficile à savoir?
Au dessus de lui, la salle ronde montait toujours plus haut et il était impossible d’apercevoir le ciel.

Andrew n’était plus qu’à quelques mètres de lui. Il était déposé sur une stèle en pierre dans lequel étaient gravée des inscriptions d’une langue qu’Andrew ne connaissait pas.
Il était tout près de lui à présent. Tout près de l’Ancien. Sa couverture dur semblait usée au point de tomber en morceau l’ors qu’on la touche.





Andrew tendit la main vers le livre s’apprêtant à l’ouvrir, mais il n’en eut pas besoin.
Le livre s’ouvra de lui-même, rapidement, sa couverture vient frapper le socle de pierre dans un son mat fort peu audible.
Les pages commencèrent à défiler lentement.

(Des noms, ce sont des noms !)

Puis plus vite, beaucoup défilèrent ainsi et le livre semblait ne pas avoir de fin. Les pages se tournaient maintenant à une vitesse inouïe, mais toujours une par une. L’étrange phénomène s’arrêta brusquement. Devant les yeux d’Andrew, une page blanche, enfin avec le temps elle avait pris un teint jaune, comme un journal après quelques semaines.
En bas à droite de la page se trouvait un numéro qui semblait être tracé à la main :
127.598.794
La page suivante était notée : 127.598.795
Andrew tendit une nouvelle fois la main vers le livre et après une légère hésitation il la posa sur le livre.
Une lumière bleue s’échappait du livre, comme une aura qui se dégageait des pages.
Il ressenti un picotement dans la main, la lumière devenait plus forte, beaucoup plus forte.
Il se sentait vidé de ses forces et le picotement empirait.
Juste avant qu’il ne doive fermer les yeux il se rendit compte qu’un nom s’écrivait dans le livre.
Andrew…
Il n’eut pas le temps de lire la suite, la lumière devenait trop forte.
Le picotement devint une douleur, d’abord dans la main puis dans le bras puis généralisée.
Il allait crier. Et en effet quelques seconde plus tard le cri lui échappa sa voix était rauque puis devint rapidement fluette. Maintenant il en était sur il rapetissait et il se rendait vaguement compte qu’il était en train d’oublier beaucoup de chose.
La lumière était insoutenable et s’ajoutant a elle, un son grave commençait à se faire entendre.
On aurait dit qu’il venait de tout les coté à la fois, et comme a peut près tout sauf lui dans cette salle le son grandissait.
La lumière était tellement forte qu’il lui faisait mal aux yeux même quand ces derniers étaient fermés.
Tout s’arrêta d’un coup, la douleur, la lumière le son.
Dans la grande salle ronde le seul objet présent était l’Ancien.

Andrew avait 2Mois et était élevé par une famille de paysan à Hugel.


2
ANDREW, 5 ANS
- Andrew ! Andrew !
- j’arrive, maman !
L’enfant traversa les 300 mètres de champs de hautes herbes qui le séparaient de sa mère en courant.
-vient, le soleil va se coucher, on va manger.
Andrew et ses parents s’installèrent autour de la grande table ronde en bois.
Sa mère amena un plat en terre cuite remplie de riz. La récolte de la famille qui, d’ordinaire, vivait en parfaite autarcie, fut bonne cette année et ils purent revendre leurs surplus.
-Encore du riz !pouffa l’enfant.
Sa mère qui ne prêta nulle attention à ces propos gastronomique, pris la parole sur un ton sérieux.
-Andrew, demain, maman doit aller à Leyawiin pour le commerce. Tu vas devoir rester avec ton père pendant deux jours, le trajet est long.
-d’accord dit Andrew du riz plein la bouche. Cela n’avait pas l’air de trop le déranger.
Sa mère essaya de cacher qu’elle était vexée que son fils sois si peu inquiet pour sa mère. Elle voulu ajouter « les bois noirs, sont dangereux, Andrew » mais elle ne le dit pas. Autant ne pas l’inquiéter finalement.
-C’est a combien de pas demandas Andrew ? [« Pas » : unité métrique Cyrodiilienne équivalente à 70 centimètres]
-au moins 4000 répondit sa mère.
-Houlala, c’est loin !
Sa mère sourit. Son père passa sa main dans les cheveux de son fils comme une caresse. Il dit
-va jouer dehors…
Le gamin bondit de sa chaise et prit la direction de la porte
-Et ne rentre pas trop tard ! Ajouta son paternel au moment où la porte de bois se refermait dans un claquement.
Le mari prit la main de son épouse et la serra.
-ça va aller, reste bien sur les routes et tout ira bien. Dit il d’un ton rassurent.



3
DEPART

-Bon, sac ?
- ben oui vaut mieux !
-Dague en acier ?
-oui
-Vivres ?
-oui, oui, oui … j’ai tout ne t’inquiète pas chéri.
-hum…bon il ne me reste qu’a te souhaiter un bon voyage alors.
-bonjour ! [« Bonjour » : expression autrefois utilisée comme un salut signifiant bonne journée. Aujourd’hui elle ne s’utilise que sous forme de présentations ou de bienvenue {Authentique}]
La lourde porte en pin massif se referma lourdement.

4
Un long voyage

Cela allait faire deux heures qu’elle suivait la route verte en direction de son objectif : Leyawiin.
Je vais m’accorder une pause. Pensa t elle
Elle trouva sur son chemin en banc et en profita pour se reposer.
Elle sortit une carotte de son sac en toila et la croqua.
Depuis la colline sur laquelle elle était, elle pouvait apercevoir au loin la Tour d’or blanc de la citée impériale, mais elle pouvait aussi apercevoir derrière elle la clocher de la cathédrale de Hugel, une citée prospère près de la frontière entre Elsweyr et Cyrodiil.
Elle cessa de contempler le paysage et reprit sa marche. Elle n’arriverait pas a destination sans cloches au pied, ses sabot lui faisait mal.
Elle entendit en bruit de cheval se rapprochant d’elle, elle se retourna et fut surprise par la présence d’un garde cavalier.
-Bonjour ! dit il d’une voix résonante.
Sur un timbre beaucoup moins rauque la femme d’une quarantaine d’année reprit :
- bonjour.
Elle s’assura auprès du garde d’être sur la bonne voie.
L’homme en armure la rassura :
- La route verte est calme, certains guerriers l’appellent même« la route de l’ennui ».
Il partit au trot dans la même direction que la mère d’Andrew, mais bientôt Sarah [donc la mère d’Andrew (je viens de trouver son nom^^)] ne le vit plus.
Elle continua de marcher tout en suivant le chemin.
Sarah trébucha sur ce qui lui semblait être une pierre. Elle examina l’objet qui lui avait foulé le pied.
Elle le toucha et retira sa main aussi tôt, le sol tremblait. La femme marqua quelques pas de recul.
Le sol tremblait plus fort à présent, incapable de s’enfuir, ses jambes semblaient ne plus répondre à ses influx nerveux. Elle regardait le spectacle étonnant d’une pierre qui s’élevait lentement du sol.
Plusieurs pierres se dressaient maintenant en sortant du sol, petit à petit.
Derrière elle, deux pics d’une pierre noire s’élevaient de la même méthode que les pierres face à elle. Les deux pics pointaient vers le ciel. Elle ne tarda pas à remarquer que leurs pointes étaient recouvertes de sang.
Devant Sarah, les pierres continuait de s’élever, elle prenait désormais la forme d’un U dont les deux extrémités se recourbaient légèrement vers le bas. Le tremblement du sol cessa celui de ses mains empira. Elle leva les yeux aux ciel et s’aperçut épouvantée que celui-ci était rouge. Pas rouge comme celui d’un coucher de soleil en été, non, rouge foncé comme…comme rien qu’elle n’ait jamais connu. Son regard se posa à nouveaux sur la constellation rocheuse qui se dressait juste face à elle, à quelques 6 pas.
Un éclair rouge foudroya la fondation pierreuse aussitôt suivi d’un fracas innommable.
Elle cria en ferment les yeux, horrifiée.
Elle les rouvrit en pensant :
« Comme j’aimerais être à la maison près des champs gorgés de soleil, et près d’Andrew »
L’espace compris entre les deux branches du U était maintenant occupé par un voile pas tout a fait opaque rouge/orange qui semblait être animé par un fluide électrique.
Sarah pensait à fuir, mais ses jambes marchaient comme toute seul vers les pierres.
Elle rendit la main vert le voile, elle était à quelque centimètres.
Une déformation sphérique se forma près de la main de Sarah. Une main sortit, tout a coup du fluide et saisit le bras de Sarah qui se débattit, elle sortit sa dague avec la main qu’elle pouvait encore mouvoir, mais la main, la main bleu foncée, qui avait des ongles tellement prononcé qu’on aurait pu les qualifier de griffes, la tira à travers le voile. Elle fut emportée dans un dernier cri aigu.

2 jours plus tard :

- elle revient quand maman ? questionna Andrew
- Bientôt…. Bientôt….

Le lendemain dans l’après-midi.

Le père d’Andrew tenait en ses mains vétustes un courrier dont l’en-tête était un logo représentant un cheval chevauché par un homme.
« La compagnie du cheval noir est au regret de vous annoncer que votre épouse, M.Sarah, est portée disparue dans des circonstance que la Garde de Bravil découvrira dans les plus brefs délais »

- pourquoi tu pleures papa ?
- …
- Pourquoi tu pleures ?! insista le petit en gémissant.
- Écoute…
- Quoi ?! qu’est qu’il y a ?!
- Ta mère… a disparu.
- Nan ! nan, ce n’est pas vrai ! maman va rentrer ! tu l’as dis toi-même !
Son père se contenta de le regarder. Il serra son fils dans ses bras.

Quelques heures plus tard.

Son père prit la parole :
- Tu penses que tu peux rester chez ton copain quelques jours ?
- Thomas ? non je ne veux pas que tu partes.
- Il faudra bien que je parte demain, je dois me rendre à la Citée impériale.
- Et si il t’arrive quelque chose ?
- Non…il ne m’arrivera rien.
-




to be à suivre...

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