Messagepar Artic nation » mer. mai 09, 2007 10:27 pm
" - Chef, j'ai rebranché l'alimentation en prozium, je pense ne pas m'être trompé, ça va le calmer...
- bien Nova, dit sereinement Olah. Sédatifs à cent pour cent, Nous sommes désormaits en paix.
- Allons boire un coup chef, il fait chaud ici... "
... Il fait chaud ici, je vois sur les écrans de sécurité que le prisonnier MC est allé prendre une pinte avec les gardes, allons lui apprendre à boire au goulot ...
Le prisonnier endormis écoutait celà avec attention à travers les caméras qui se trouvaient dans sa cellule.
Sa rage était sans limite, cet abruti de petit faux-cul de maton aux yeux de feu ne lui inspirait qu'une haine sanguinaire... Il s'était trompé de tube et lui avait branché les proteines pures en place du prozium!!!
Il était désormait complètement conscient de son corps mais ne pouvait pas bouger un membre.
Après un rapide coup d'oeil sur la base de donnée de la prison, ils vit que des relaxants musculaires lui avaient étés injectés en masse, normal après tout... Mais à la vue d'une réserve importante de neuro-toxines d'araignées de Khoral-VI, son esprit sursauta de terreur et il vida le contener dans les égouts.
Effectivement, le prisonnier reprenait peu à peu ses esprits sans avoir accès aux commandes de son corps, mais avais le contrôle total d'une partie du système des systèmes de sécurité delta à Têta du centre et avait réussi à obtenir un code d'entrée pour la base de données administrative.
Très pratique mais il ne pouvait communiquer avec personne...
Il avait aussi découvert que ses implants neuraux avaient étés améliorés et qu'il était directement relié au réseau informatique...
Cependant, tant qu'il était relié au système, il ne pourrais pas bouger son corps et fuir.
Ayant compris que son intérêt se portait maintenant vers les prisonniers innocents, il avait étudié tous les plans qu'il avait pu obtenir et essayait de reconstituer les morceaux manquant.
c'est alors qu'il remarqua de nouveau la cellule des trois indomptables... Le plus grand élite, qui portait un drôle de chapeau du XXème siècle, sûrement un sombrero, liait les pieds et les mains d'un élite plus petit, d'un bleu plus clair, qui somnolait, une bosse sur la tête et un maton qui rangeait sa matraque...